Aube
Aube
au bord d’un aber
je puise l’âme des mots
Le vent d’orage grise à rebours
la peau de mes brumes
Ni les dieux ni les hommes n’apprécient
Le coquelicot s’incline
Cinq heures trente-huit
passe lentement dans le jardin
Poésies
Aube
au bord d’un aber
je puise l’âme des mots
Le vent d’orage grise à rebours
la peau de mes brumes
Ni les dieux ni les hommes n’apprécient
Le coquelicot s’incline
Cinq heures trente-huit
passe lentement dans le jardin